• En 2100, 40 % de l’humanité sera africaine

    Le continent est devenu le moteur de la croissance démographique mondiale.




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  • Déchets. La Chine inquiète le secteur
     
    La Chine ne veut plus être la poubelle du monde : le géant asiatique veut interdire l'importation de certains déchets. Une annonce qui met en émoi les industriels du secteur dans de nombreux pays.


    © Le Télégramme

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  • Droit du travail. 60 députés signent un recours

    Les députés GDR, FI et Nouvelle Gauche ont déposé un recours constitutionnel contre la loi travail au motif que les conditions d’adoption sont contraires au principe de « clarté et sincérité ».


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  • Mon optimisation fiscale...

    Airbnb a seulement payé 92 944 euros d'impôts en France en 2016

    "Nous nous conformons aux règles et payons toutes les taxes que nous devons, là où nous opérons", a répondu la plateforme au "Parisien", qui révèle ce montant. Airbnb, qui a domicilié son siège social européen en Irlande, parle "d'optimisation fiscale".

    A lire ici >>>>>


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  • Rouge ViF !

    J'en ai marre...

    Lire la suite...


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  • Ce que touche le Paris SG sur chaque maillot de Neymar vendu

     

    A Lire ici article Le Figaro >>>>>


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  • Syndicollectif 6 Août 2017

     

    Des articles nouveaux publiés dans : www.syndicollectif.fr.
    N'hésitez pas à intervenir !
    Bonne lecture et bon été

     * Une analyse de la situation du syndicalisme : représentativité, grandes entreprises et soutraitance, syndicalisme d'accompagnement et syndicalisme de lutte  (Bruno Lemerle, CGT Peugeot Sochaux) :

    http://wp.me/p6Uf5o-1jA


    * Un article paru dans le Monde Diplomatique sur la CFDT :
    http://wp.me/p6Uf5o-1j4


    * Un dépliant de Solidaires sur la Palestine et le syndicalisme en Palestine :
    http://wp.me/p6Uf5o-1jX


    * Un article de la NVO sur ce que cache la fusion des IRP :
    http://wp.me/p6Uf5o-1jS


    * Solidaires appelle à agir dès l'université d'été du MEDEF fin août et le 12 septembre :

    http://wp.me/p6Uf5o-1jr


    * La Confédération CGT récapitule une analyse détaillée de la loi d'habilitation des ordonnances :
    http://wp.me/p6Uf5o-1jt


    * Un syndicat CGT commerce à Amiens critique l'attitude de sa fédération :
    http://wp.me/p6Uf5o-1jc


    * Luttes sociales en Grèce :
    http://wp.me/p6Uf5o-1jm


    * Appel contre la pérenisation de l'état d'urgence:
    http://wp.me/p6Uf5o-1j9


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  • "Maladie inconnue"

    dans une usine Belge de pommes de terre

    Sur les traces de la mystérieuse maladie qui a touché les employés d'une usine de frites belge

    En une semaine, près de la moitié des employés d'une usine de frites belge ont été hospitalisés. Franceinfo s’est rendu là où a germé la mystérieuse maladie.

    A lire ici FranceInfoTV >>>>>

     

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    2 Août 2017

    "Maladie inconnue" dans une usine de pommes de terre : le nombre de salariés hospitalisés s'élève désormais à 70

    De nombreux employés d'une entreprise belge se plaignent des mêmes symptomes : maux de tête, fièvre, courbatures. Les médecins n'ont pas trouvé de quoi ils souffraient.

    A lire ici >>>>>

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    28 juillet 2017

    Une trentaine de salariés d'une usine de pommes de terre hospitalisés dans le Nord pour une "maladie inconnue"

    Les deux tiers des victimes sont rentrées à leur domicile, les autres sont encore hospitalisées, vendredi en fin d'après-midi. La cause de leurs syndromes est encore inconnue.

    A Lire ici >>>>>


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  • Crise au Venezuela : Presse 6 Août 2017

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    Le Monde...

    Crise au Venezuela :

    la Constituante révoque la procureure générale,

    le Mercosur suspend le pays

    Luisa Ortega, procureure générale, a contesté samedi soir son limogeage par l’assemblée nouvellement élue. Plus tôt dans la journée, le Mercosur suspendait l’Etat vénézuélien pour « rupture de l’ordre démocratique ».


    http://www.lemonde.fr/international/article/2017/08/05/venezuela-a-peine-installee-l-assemblee-constituante-demet-de-ses-fonctions-la-procureure-generale_5169156_3210.html
     
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    6 Août 2017

    Venezuela :

    Luisa Ortega, procureure générale limogée

    et égérie des chavistes dissidents

    Rien ne prédisposait cette chaviste historique, à devenir une des figures de la dissidence. En 2016, les arrestations d’opposants l’ont amenée à s’opposer à Maduro.

     
     
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    6 Août 2017

    Venezuela : cinq figures clés de la nouvelle Assemblée constituante

    Ils sont avocats, enseignants, responsables politiques de longue date. Tous font partie du cercle le plus proche du président Maduro et ont la charge de réécrire la Constitution du pays.


    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/08/06/venezuela-cinq-figures-cles-de-la-nouvelle-assemblee-constituante_5169295_3222.html
     
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    6 Août 2017

    Limogeage de la procureure Ortega au Venezuela : "un pas supplémentaire" vers "une dérive autoritaire"

    Gaspard Estrada, directeur exécutif de l’Observatoire Politique de l’Amérique Latine et des Caraïbes de Sciences Po, était l'invité de franceinfo dimanche pour évoquer la crise politique qui secoue le Venezuela.

    A Lire ici >>>>>FranceInfoTV

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    6 Août 2017

    Venezuela : une rébellion dans les rangs de l’armée maîtrisée

    Dans une vidéo mise en ligne, des hommes se présentant comme des soldats assurent vouloir mener « une action civique et militaire pour rétablir l’ordre constitutionnel » dans le pays.




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  • Suite au Communiqué d'Ensemble!
    sur la situation au Vénézuela
    plusieurs réactions ...6 Août 2017
     
     
    Jean Ortiz

    Venezuela. « Ensemble ! » s’égare

    A Lire >>>>> Blog L'Humanité

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    D'un Camarade d'Ensemble !

    Bonjour,


    J'ai pris l'initiative d'interpeller sur les réseaux sociaux Thomas Posado - que je connais un peu... (...) -   pour avoir son avis sur notre Communiqué de Presse au sujet de la situation au Venezuela.

    Thomas est un jeune chercheur, ancré dans la gauche radicale et connaissant bien la situation vénézuelienne.

    Vous pouvez retrouver un article qu'il a écrit en 2013 pour Contretemps sur ce pays après la mort de Chavez ici : 

    https://www.contretemps.eu/quel-avenir-chavisme-0/

    Il devrait en publier un autre sur le même site au sujet de la situation actuelle.


    Voici donc son commentaire sur le CP d'Ensemble :


    "Le positionnement est globalement juste, ne pas accepter la dérive autoritaire de Maduro sans se rallier à l'opposition de droite. 


    Il y a quelques points qui auraient pu être traités plus précisément même si c'est difficile de tout faire entrer dans un communiqué : 

    - les vélléités insurrectionnelles de la droite sont traitées en une phrase dans le dernier paragraphe et pourtant, c'est une donnée importante de la situation.

    Une partie de la violence, des plus de 120 morts, provient de groupes armés d'opposition, des guarimberos, qui assument l'affrontement des forces de l'ordre.

    Il y a des attaques contre le domicile natal de Chávez, contre des centres de santé, contre des entrepôts de nourriture (dans un pays où les pénuries font rage), contre des militants parce qu'ils sont chavistes qui sont tout à fait condamnables.

    Les leaders d'opposition emprisonnés sont des dirigeants qui appellent depuis plusieurs années au départ de Nicolás Maduro avant son terme constitutionnel.

    Cela ne justifie absolument pas la dérive autoritaire du gouvernement mais ça mérite d'être mentionné. 


    - les menaces de sanctions des États-Unis, ces dernières semaines, sont de plus en plus réelles (gel des avoirs, interdiction d'entrée sur le territoire pour une quinzaine de dirigeants vénézuéliens).

    La phrase "C’est au peuple vénézuélien qu’il appartient de prendre son destin en main" suggère qu'Ensemble désapprouve ces ingérences.

    Ca aurait mérité d'être dit explicitement ! 


    Sinon, l'hommage à l'héritage progressiste du chavisme, tout en soulignant les limites, la dénonciation de la dérive autoritaire du gouvernement, rien à dire !"

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     DE JH (Ensemble!)

    (...)

    Mais le communiqué d'Ensemble sur le Venezuela est affligeant .

    Le problème n'est pas d'escamoter un jugement critique sur la fuite en avant de Maduro

    mais de commencer par analyser les causes initiales, d'abord économiques,  de la crise dramatique que vit le peuple vénézuélien :

    la baisse des prix du pétrole de 130 dollars le baril  à 40 dollars (environ 48 aujourd’hui) .

     

    Même Les Echos ont remarqué que les importations vénézuéliennes avaient diminué de 50% alors que celles de la Grèce ont diminué de 28%..

    Mais dans ce communiqué il n’y a pas une critique sur les conséquences de l'effondrement des cours mondiaux du pétrole , effondrement qui ne relève pas d'une loi de la nature !

    Le Venezuela dépend à 90% environ de ses exportations de pétrole pour ses ressources en  devises.

    La diversification économique d'une économie pétrolière rentière (ou monoproductrice) est un processus long et complexe qui demande du temps , beaucoup de moyens, qui nécessite non seulement d'affronter des lobbys mais qui ne va pas sans risque social pendant toute la phase de transition où la rente est utilisée pour des investissements alternatifs.

     

    On peut discuter du choix de Chavez :  

    d'abord utiliser la "rente" pour développer des plans sociaux  et mettre en œuvre une diplomatie pétrolière régionale internationaliste en livrant du pétrole à bas prix (voire gratuitement) aux pays les plus pauvres, pour consolider la base sociale du régime et  mettre en échec la Zone de libre Echange des Amériques (ZLEA) voulue par Washington, un marché de 850 millions d'habitants sous hégémonie nord américaine , un désastre aux conséquences internationales s'il s'était réalisé .

    Chavez avait-il réellement une alternative à ce moment là, en 2005, trois ans après la tentative de coup d’Etat ?

    En tout cas on ne peut pas se permettre une condamnation aussi superficielle et laisser croire que la lutte anti-impérialiste placée entre guillemets n'est qu'une "rhétorique".

    Comme s'il s'agissait d'une vieille lune!

     

     Quant au diagnostic très docte de "la maladie chronique de la politique latino-américaine , le caudillisme",

    il  permet de mettre dans le même sac "Peron, Pinochet, Castro, Chavez " auxquels on peut ajouter Guevara…

    On règle à la serpe toute l'histoire des luttes de libération nationale et de façon plus générale le problème de la représentation des opprimés qui ne forment pas spontanément une classe dirigeante.

    Ce n'est pas parce que la République bolivarienne n'a pas réussi à transcroître en révolution socialiste qu'il faut  ajouter sa contribution  au "nœud coulant démocratique" (Trotsky) que l'opposition anti-chaviste (MUD) aidée par Washington est  en train de passer au cou  de la révolution (une révolution qui n’avance pas est condamnée à reculer comme le disait les grands ancêtres).

     

    Pour ce faire elle reçoit l'aide de l'extrême droite vénézuélienne et de ses groupes de choc (les morts ne sont pas que d'un côté) et des bourgeoisies latino-américaines appuyées par Washington .

    Les gouvernements latino-américains qui se taisent sur la corruption des députés et du président brésilien Michel Temer comme ils se sont tus lors du « coup d’Etat institutionnel » limogeant Dilma Rousseff s’apprêtent à exclure le Venezuela du MERCOSUR .

     

    Après la défaite qui s’annonce, les rédacteurs de ce communiqué pourront rédiger un autre communiqué de protestation contre les revanchards qui ne respectent pas l'Etat de droit,  qui abusent de la démocratie et liquident "les acquis sociaux» !

     

    On doit critiquer Maduro pour de nombreuses raisons.

    Il ne propose pas de plan d’urgence suffisamment radical pour faire face à la crise économique et sociale, et ne prend pas de mesures pour éradiquer la corruption d’une partie de ses soutiens. 

    Ni la répression des opposants ni la Constituante ne constituent  une réponse.

    Mais la Constituante n’est pas plus une « farce électorale » que le référendum organisé par l’opposition le 16 juillet.

     

    Quant à sa composition et à son mode d’élection il s’agit d’un sujet compliqué qui fait débat y compris en France, et qui ne peut se résumer par la formule rabâchée « Une personne égale une voix » en oubliant au passage l’organisation de la démocratie sur les lieux de travail et la démocratie des collectifs (conseils) !

    Quant à qualifier le référendum révocatoire instauré par Chavez de « démocratie plébiscitaire », c’est purement et simplement reprendre les qualificatifs passés de l’opposition qui sans vergogne, n’hésite pas aujourd’hui à  se réclamer cet héritage .

    Rappelons que le référendum révocatoire fait partie de notre programme.

     

    Confrontée à Hugo Chavez la gauche radicale vénézuélienne s’est constamment divisée, hésitant entre l’adhésion, le commentaire critique extérieur et l’opposition, mais sans réelle alternative.

    Le communiqué de Marea socialista a le mérite d’insister sur le rôle de l’impérialisme mais son renvoi dos à dos de l’opposition et de Maduro qualifiés tous les deux de contre révolutionnaires, revient à rester l’arme au pied face à l’offensive impérialiste (dont le communiqué d’Ensemble ne dit mot).

     

    Dernier mot sur le fonctionnement : les rédacteurs de ce communiqué, critiques envers  « le paternalisme et le verticalisme » et partisans de la démocratie participative auraient pu soumettre à critiques et amendements  leur projet de texte avant de se penser autorisés à le diffuser publiquement  en apportant ainsi au nom d'Ensemble un soutien de fait à la composante "social démocrate" de l'opposition vénézuélienne qui dans ce pays a non seulement  un passé mais un très lourd passif.

     

    Quant à l’affirmation de (...)  pour qui l’élection à la Constituante est « la plus vaste fraude électorale de notre histoire contemporaine » , sa passion lui fait oublier l’élection de Poutine, et devrait le conduire à saluer la parfaite régularité de l’élection du milliardaire  Donald Trump .

    Il a sûrement oublié les élections de nombreux présidents mexicains, cette « dictature parfaite » comme l’a qualifiée l’écrivain Vargas LLosa.

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     BM (Ensemble!) 6 août 2017

    Bien sûr, l'effondrement du cour du pétrole précipite la crise, mais peut-on pour autant dire que c'est la cause initiale ?

    La chute des cours a provoqué une grave crise politique et sociale en Algérie en 1988, pour autant il est difficile d'en faire la cause première des difficultés.

     

    En 2007, pour justifier la proposition de rendre possible la réélection permanente contenue dans son projet de constitution (au lieu d'une limitation à deux mandats comme c'était le cas), Hugo Chavez comparait la révolution vénézuelienne à un tableau dont il est le peintre, celui qui met les couleurs ("como un pintor que está pintando un cuadro y ese pintor es Hugo Chávez, el que maneja el pincel, el que le pone los colores, el que combina, el artista. ”). 

    La mesure elle-même, votée en 2009, peut se discuter, d'autant qu'il existe le referendum révocatoire qui peut apparaitre comme un garde-fou efficace.

    C'est surtout la motivation donnée qui interroge sur la conception du pouvoir, d'autant qu'en 2007, les effets de la bureaucratisation et de la corruption étaient déjà (ou encore) de gros problèmes.

    Le temps écoulé n'a pas vraiment arrangé les choses.

    C'est pourquoi je suis assez réticent à l'idée de "laisser le temps".

    J'ai le fort sentiment que "laisser le temps", c'est surtout laisser les choses s'installer.

     

    Le texte de Marea Socialista est bien sûr une position discutable, mais c'est une position élaborée qui vient de l'intérieur, du coup ça vaut la peine de regarder de plus près ce qui y est développé.

     

    Pour ma part, je suis assez interpellé par toute la partie "A ceux ...", ,où ils s'adressent aux secteurs de la société en lutte.

    A côté de considérations assez classiques, la question du décret minier de l'Orénoque est jugé suffisamment important pour être cité, ainsi que la dénonciation de la logique extractiviste et l'accentuation de la primarisation de l'économie.

     

    Le passage " mettre un signe égal entre le parti et l’État." mérite de s'y attarder,  car on est loin d'être au clair sur le sujet du rapport entre les institutions et les partis politiques.

    Les institutions ont leur logique, et il me paraît important que les partis politiques, y compris ceux faisant partie de la majorité et participant au pouvoir, gardent pleine et entière leur capacité de débat et de critique.

     

    Lorsque le texte s'adresse aux syndicats honnêtes, il y a forcément un débat à mener.

    Le paysage syndical au Vénézuela est assez tourmenté, avec une tradition de collaboration avec le patronat et la droite, mais aussi d'intervention directe du pouvoir en leur sein, et d'existence de secteurs de gauche autonome.

    Doit-on faire un tri entre syndicats ?

    Le paysage syndical est divers et divisé aussi en France et en Europe, et si on fait le tri, il ne restera plus grand monde.

    Par ailleurs, l'époque appelle à redéfinir les liens entre le syndical et le politique, tout en garantissant l'indépendance.

    Ce n'est pas pour rien qu'Aurélie Trouvé remet sur la table la Charte d'Amiens.

     

    Au final, comment articule-t-on État/partis politiques/ mouvement social ?

    La question nous concerne évidemment.

     

    Ce qui se passe an ce moment au Vénézuela revêt forcément une grande importance pour nous tous,  bien au-delà de l'Amérique Latine, avec des enjeux sur  comment construire l'alternative.

    Les questions posées sont très difficiles.

    Le débat, à partir de la diversité des parcours de chacun,  peut permettre d'avancer ne serait-ce qu'un peu.

     

    Amicalement,
          BM


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