• Après la convention démocrate aux USA...

    Sanders : Game over ?

    Les conventions des deux grands partis américains se sont donc terminées comme il était prévu. Les Républicains, dans une ambiance assez peu consensuelle, ont fini par désigner Donald Trump, qui a su rassurer son monde en choisissant un conservateur bon teint, vieux routier du parti, comme vice-président. A Philadelphie, la convention Démocrate a désigné, dans la douleur et la désunion, Hilalry Clinton, qui a déçu encore une fois les partisans de Bernie Sanders en choisissant un apparatchik modéré, Thomas Kaine, sur son ticket de campagne.

    A lire ici >>>>>


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  • Entraide. Tendre vers l'envol de Madagascar

    Rencontre et point d'étape avec l'association Cap Solidarité Madagascar, qui oeuvre depuis 2012 à développer l'économie et l'accès aux services indispensables sur l'île de l'Océan Indien.

    L'aventure débute par les voyages, en 2010 et 2011, d'Anne-Marie Guinard sur les terres de l'île de Madagascar en compagnie de l'association humanitaire Échanges Solidarité, une émanation de la RATP qui accompagne ses agents dans des projets de missions solidaires à travers le monde entier.
     
    © Le Télégramme

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  • Article complet de Telerama...

    “Il faudrait décréter

    l'anonymat obligatoire de tout auteur d'attentat”

    http://www.telerama.fr/idees/richard-rechtman-psychiatre-daech-se-comporte-comme-les-nazis,145555.php


    Terrorisme ou crime génocidaire ?

    Le psychiatre et anthropologue Richard Rechtman revient sur le massacre de Nice.

    Et fustige l'attitude des politiques et des médias, qui nourrissent, selon lui, la stratégie de l'organisation Etat islamique.

     

    De Nice, on aura tout vu, et presque tout entendu, de la part des responsables politiques et de certains médias. Leurs voix se mêlent et s'emmêlent dans des tirades usées, des saillies souvent opportunistes et des polémiques trahissant, en creux, l'état d'une démocratie qui se cherche dans la souffrance, mais ne se trouve plus. Leurs regards semblent figés, entre traces de sang et chemin vers la présidentielle. Heureusement, la parole du psychiatre et anthropologue Richard Rechtman, directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, nous permet de relever la tête. Pour jeter un autre regard sur la stratégie de Daech et changer notre vocabulaire quand on évoque ceux qui ont ensanglanté la France. Pourquoi ? Parce que le diagnostic sur la nature des crimes commis par l'organisation de l'Etat islamique est erroné, nous dit Rechtman ; parce que les réactions de nombreux médias et d'une partie de la classe politique sont exactement celles que pouvait espérer Daech ; et parce que ces deux erreurs conjuguées nous conduisent droit à l'échec. Or, derrière cet échec, se profile l'ombre du chaos.


    Pour certains, l'attentat de Nice est l'acte d'un déséquilibré. Pour d'autres, c'est un attentat terroriste. Vous ne semblez à l'aise avec aucune de ces deux interprétations...

    Permettez-moi d'abord de dire un mot sur l'acte pathologique : on n'a jamais vu un malade mental commettre un acte pareil avec une telle détermination.

    Ni un psychotique ni un psychopathe ne seraient capables de faire cela de cette manière.

    Un paranoïaque délirant ne massacrerait jamais des gens qui lui sont inconnus.

    Quant au psychopathe, c'est l'impulsivité et l'immé¬diateté de la violence qui le caractérisent, et sûrement pas la préparation méthodique des jours à l'avance.

    Donc l'interprétation psychopathologique seule ne suffit pas.

    En revanche, il existe une offre — celle de Daech — qui invite à commettre des meurtres de masse, et qui rencontre un certain nombre de personnes susceptibles d'y répondre.

    J'emploie à dessein l'expression « meurtres de masse », car je ne crois pas qu'il s'agisse de terrorisme à proprement parler.

    L'attentat de Nice s'apparente plus, selon moi, à des meurtres de type génocidaire, déterritorialisés depuis le Proche-Orient, où ils sont désormais monnaie courante, et perpétrés avec les mêmes techniques ici que là-bas.


    “On est loin du terrorisme classique.”

     

    Qu'entendez-vous par meurtres génocidaires ?

    Tuer à la chaîne le plus de gens possible avec le minimum de moyens.

    S'attaquer à des personnes sans défense, qui ne peuvent ni parer les coups ni répondre.

    Des victimes innocentes, qui n'ont aucune raison de se méfier, aucune raison de réagir.

    A Mossoul et Raqqa, Daech se comporte comme les nazis, les Khmers rouges, les extrémistes hutu ou les nationalistes serbes à Sarajevo et Srebrenica.

    Avec la même technicité.

    On est loin du terrorisme classique : qu'ils soient basques, corses ou irlandais, les terroristes s'excusent en effet presque toujours de la mort donnée, au nom du symbole visé.

    Souvenez-vous de l'assassinat du préfet Erignac.

    Pendant des années, ses auteurs ont laissé entendre qu'ils regrettaient d'avoir tué l'homme, mais qu'il le fallait pour s'attaquer au symbole.

    Avec Daech, il y a plutôt une volonté de tuer en masse les impurs, tous les ¬impurs, en Occident comme dans les pays musulmans.

    Le symbolisme du meurtre s'efface au profit du chiffre.

     

    Comment lutter contre ces crimes génocidaires ?

    Leur objectif, rappelons-le, est de créer le chaos, la scission tous azimuts dans la société.

    Ils ont donc impérativement besoin d'une très grande publicité autour de leurs crimes.

    Or, malgré tous ses relais sur les réseaux sociaux, Daech ne dispose pas des mêmes moyens de diffusion que l'Occident.

    C'est dire à quel point ils ont besoin de nos canaux de diffusion pour donner l'ampleur qu'ils souhaitent à leurs actions et, par là même, recruter encore plus de candidats.

    L'information est donc bien dans ce contexte un enjeu stratégique, pour ne pas dire militaire.

    Cela veut dire que les informations dont nous disposons sur l'identité des auteurs d'attentats devraient être tenues secrètes quand ces crimes ont déjà eu lieu.

    Que l'on cherche à comprendre qui sont les personnes susceptibles d'agir, pour essayer d'anticiper et de prévenir leurs actes, c'est évidemment utile, et les travaux du psychanalyste tunisien Fethi Benslama, par exemple, nous éclairent beaucoup sur les candidats potentiels au martyre.

    En revanche, une fois le meurtre accompli, dire qui était la personne, raconter son passé et diffuser sa photo, c'est se transformer en caisse de résonance du crime et devenir l'allié objectif de Daech.

    La bonne question n'est pas de savoir pourquoi ces gens sont capables de commettre ces actes, mais bien pourquoi ils s'imaginent obtenir, grâce à leur forfait, une célébrité que rien ni personne ne peut leur offrir si ce n'est... nous-mêmes, et surtout les politiques et les médias.

    L'homme qui a brisé tant de vies à Nice s'est préparé pendant plusieurs mois à ce moment glorieux — et non religieux.

    Il a anticipé cette jouissance narcissique dont il s'imaginait pouvoir profiter post mortem, en se projetant sur le moment où, après la mort, il pourrait observer les effets de son acte sur la population.

    En offrant une tribune exceptionnelle à ce fantasme, les politiques et les médias créent le terreau nécessaire à la naissance de dizaines d'autres candidats à la gloire.

    On le sait très bien avec le suicide des adolescents par exemple, plus on glorifie le sui¬cidé, plus on en parle (en bien ou en mal), et plus on crée des vocations chez des jeunes et des moins jeunes qui parviennent à s'imaginer défier la mort en se représentant leurs propres obsèques ou ce que l'on dira d'eux une fois morts.


    “Les tueurs de Daech rêvent d'abord d'une mort glorieuse, et nous devons tuer cet espoir.”

     

    Que faire, alors ?

    Puisque nous sommes en guerre avec Daech, il faut commencer par identifier le cœur de sa stratégie de propagande, et la contrer.

    Cette stratégie consiste à utiliser toutes les chaînes de fonctionnement de la société occidentale pour donner une ampleur démesurée aux actes commis par les djihadistes.

    Je suggère donc que les responsables politiques décrètent l'anonymat obligatoire de tout auteur d'atrocités, l'interdiction de diffuser ses images, ou tout renseignement sur son identité, l'interdiction de relayer le moindre élément permettant de l'identifier, bref de classer secret-défense tout ce qui concerne les personnes commettant ces attentats.

    La démocratie exige certes un libre accès à l'information, notamment sur le déroulement et les conséquences de ces crimes, mais elle exige aussi que l'on interdise de divulguer des informations susceptibles de mettre en danger la population.

    Or rendre impossible l'identification des assassins est une façon de faire que personne ne puisse s'identifier à eux.

    Que celui qui souhaite mourir avec la gloire sache qu'il mourra dans l'anonymat le plus total.

     

    Il faut donc « dé-héroïser » les auteurs d'attentats ?

    Ceux qui s'imaginent que les tueurs de Daech rêvent de trouver des vierges disponibles à leur arrivée au paradis se trompent.

    Ils rêvent d'abord d'une mort glorieuse, et nous devons tuer cet espoir en annonçant qu'ils ne sont pas des héros en devenir, mais des lâches qui retourneront à leur condition ¬initiale d'anonymes, et le resteront pour l'éternité.
     

     

    Est-ce compatible avec le désir, légitime dans un pays démocratique, de donner du sens aux événements qui frappent ce pays en identifiant les criminels pour savoir ce qui a motivé leur geste ?


    Dans les crimes génocidaires, le véritable ennemi n'est pas la petite main qui commet le crime, mais le responsable qui l'inspire ou le commandite.

    J'ai pu le constater pendant les longues années que j'ai passées à étudier les Khmers rouges.

    Cela ne signifie pas que les acteurs sur le terrain ne sont pas responsables de leurs actes.

    Cependant, nous devons nous rappeler que nous ne luttons pas contre un individu mais contre une organisation qui développe des moyens gigantesques pour faire connaître sa cause.

    Tuer le plus de monde possible à moindre coût, en recevant la plus grande publicité disponible, c'est quasiment une stratégie commerciale pour Daech — et ça marche.

    Tous les régimes génocidaires ont fait cela.

    Les Einsatzgruppen assassinaient des milliers de Juifs à la chaîne au bord de fosses communes qu'ils leur avaient fait creuser ou avaient demandé aux villageois de préparer.

    Ils pensaient la mort à grande échelle et à rentabilité maximale. Sortons donc de la logique de focalisation sur les origines du soldat de Daech pour nous concentrer sur le rôle qu'il joue dans l'organisation génocidaire et le priver du bénéfice anticipé de ses actes.

    Il faut décréter — et le dire haut et fort — que ces « soldats » mourront ici dans l'oubli le plus total, pour créer le doute dans la tête des candidats au martyre, et leur faire entrevoir le néant d'une mort anonyme.


    “Si on imagine que les tueurs de Daech sont simplement des produits de nos cités frappées par les difficultés sociales, on n'a rien compris.”

     

    Pourquoi les responsables politiques n'ont-ils pas pensé à cette stratégie ?

    Parce qu'ils n'ont pas saisi où réside le véritable danger de Daech.

    Ils pensent encore que si l'on décortique les motivations de ceux qui rejoignent l'organisation de l'Etat islamique, on va enfin comprendre et mieux protéger la population.

    Le phénomène est bien plus complexe, car ceux qui vont devenir des tueurs de masse ne sont pas nécessairement les mêmes que ceux qui ont souhaité partir.

    Parmi ces derniers, beaucoup ne deviendront pas des tueurs.

    Dès lors, si on imagine que les tueurs de Daech sont simplement des produits de nos cités frappées par les difficultés sociales, on n'a rien compris.

    Certains viennent de la banlieue, c'est vrai, mais le meurtre de masse n'est pas le produit de ces difficultés !

    C'est comme si vous disiez que les SS étaient le simple produit des circonstances de leur enfance, et que vous cherchiez à expliquer le nazisme, le polpotisme et leurs effets dévastateurs à partir de cette seule composante vaguement psychosociologique !

    Une fois que la barrière génocidaire est franchie, ce ne sont plus les origines sociales préexistantes qui sont déterminantes.

    L'anonymat est la réponse adaptée car elle contre la propagande de Daech sur son propre terrain.

    C'est l'anthropologue en moi qui arrive à cette conclusion.

    Quant au psychiatre, il vous dira que tout ce qu'il a pu lire sur le tueur de Nice ces derniers jours ne lui apprend strictement rien sur les motivations de son acte.

    Il battait sa femme ?

    Plein d'hommes battent leur femme, c'est très grave mais cela ne fait pas d'eux de futurs criminels de masse.

    L'offre de Daech s'adresse à des gens qui peuvent être issus de n'importe quel quartier, qui peuvent être des convertis récents ou des pratiquants de longue date, des gens posés ou des personnes instables, des gens tristes ou des personnes heureuses...

    Le génocidaire hutu était capable de tuer ses voisins simplement parce que Radio Mille Collines lui avait dit :

    « Ce sont des cafards, il faut aller les tuer. »

    Il était responsable de son acte, ce n'était pas un malade mental, chacun avait ses propres raisons de commettre ces atrocités.

    L'important, c'est donc bien la rencontre d'un individu avec l'offre qui lui est faite — et ce qu'il espère en retirer.

    En l'occurrence, pour celui qui répond à Daech, une semaine de gloire médiatique que rien ni personne ne pourrait lui offrir...

     

    Craignez-vous qu'une partie de la population ne finisse par se retourner contre les Français musulmans ?

    La situation se tend.

    La population arabo-musulmane issue de l'immigration postcoloniale — désormais française à part entière — n'a pourtant rien à voir avec ces histoires et compte de très nombreuses victimes dans les attentats.

    Mais il faut un bouc émissaire...

    Quand j'entends un homme politique proposer comme première mesure après le massacre de Nice d'interdire le voile, alors qu'on sait que plusieurs femmes portant le voile ont été tuées à Nice,

    je me dis : « Quelle indécence ! Quelle irresponsabilité ! »

    Etre candidat à la présidentielle et faire exactement ce que Daech attend de vous...


    “Les responsables politiques tiennent en France un discours tellement défaitiste qu'ils poussent de nombreux jeunes à chercher des idéaux ailleurs !”

     

    Quelles autres réponses apporter ?

    Il y a un danger, il faut donc s'en occuper.

    Les services de renseignement font leur part, de nombreux projets d'attentats ont été déjoués en France.

    Mais les réponses doivent être variées.

    Un travail sur l'idéal proposé aux jeunes s'impose.

    Car beaucoup trouvent chez Daech ce qu'ils ne trouvent plus dans nos projets politiques.

    Il faut que les responsables politiques cessent de marteler, pour des raisons purement électoralistes, que rien ne va plus, que tout est en déclin, que les valeurs se perdent, etc.

    D'abord parce que ce n'est pas vrai !

    Nous vivons dans une société démocratique où beaucoup de choses fonctionnent bien, une société dans laquelle la solidarité est une valeur largement partagée.

    A Nice, la réaction n'a pas été :

    « Certains sont morts, mais ouf, pas moi ! »

    On a constaté au contraire à quel point l'aide aux blessés, le soutien aux paniqués, l'esprit de solidarité se sont immédiatement manifestés.

    Ces mouvements spontanés traduisent une véritable force démocratique, à mon sens insuffisamment prise en compte.

    La démocratie, ce n'est pas simplement le bulletin de vote, et l'on aurait tort de négliger tous les mouvements contemporains où la société civile, comme sur les places publiques, exprime cette formidable aspiration à la vie et à la démocratie.

    Ce sont les formes politiques classiques — les partis, les syndicats — qui sont trop en retard sur ces évolutions et qui, ne sachant pas comment les accompagner, les ignorent trop souvent.

    Or c'est précisément là que l'on peut espérer trouver les ferments des nouveaux idéaux démocratiques.

    A l'inverse, les responsables politiques tiennent en France un discours tellement défaitiste qu'ils poussent de nombreux jeunes à chercher des idéaux ailleurs !
     

     

    Des actes comme celui commis à Nice peuvent-ils faire basculer un pays dans les règlements de comptes et la guerre civile ?


    Cette perspective est très inquiétante.

    J'ai peur que l'on se retrouve bientôt dans une situation où les extrêmes se livrent une guerre acharnée dans la rue.

    L'Allemagne nazie a choisi ses boucs émissaires avec la certitude que, si on éradiquait le globe de ce fléau, le monde serait sauvé, les Khmers rouges ont fait de même, tout comme les génocidaires hutu.

    Si un jour l'extrême droite prend le pouvoir en France, je ne doute pas que certains illuminés pensent la même chose.

    Je me rends compte aussi que beaucoup d'entre nous avaient imaginé la mondialisation comme la catastrophe d'un Occident dévastateur annihilant toutes les différences sur la planète.

    Nous nous trompions : la mondialisation existe bien, mais le mouvement va dans les deux sens, de l'Orient vers l'Occident dans le cas de Daech, qui tente d'imposer la terreur partout.

    Avant, les génocides étaient territorialisés, la séparation du pur et de l'impur était limitée par les frontières, les nazis voulaient dominer l'Europe mais pas forcément le monde...

    C'est fini, avec le califat.

    Il n'y a plus de limite à la destruction des impurs.

    Mais l'on sent poindre en Europe une radicalisation symétrique qui, même si elle n'emprunte pas le même vocabulaire, stigmatise les musulmans comme extérieurs à l'univers de l'Europe, et qui laisse filtrer une odieuse volonté de purification du territoire européen.

    Or les musulmans d'Europe sont aujourd'hui des Européens à part entière, et l'on peut craindre que les choses dégénèrent si l'on ne prend pas rapidement des décisions importantes, parmi lesquelles le rappel que les populations musulmanes européennes sont nos alliées contre ce fléau.


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  • Communiqué de presse des 2 élus NPA

    de Saint-Etienne-du-Rouvray Vraiment à Gauche

    Jeudi 28 juillet 2016

    Nous sommes profondément émus et choqués par cet acte odieux et abject  qui s'est déroulé dans notre ville. Nos pensées vont bien évidemment  vers les victimes et leurs proches.

    Ces assassinats revendiqués mettent en mouvement des tueurs animés d'une idéologie obscurantiste et meurtrière.

    Nous ne rentrerons pas dans le piège tendu par Daesh prônant l'essor de la haine entre les religions et les communautés. Sa violence meurtrière et aveugle vise à créer un engrenage de terreur semant la haine et la peur.

    Tous les discours racistes  et xénophobes en réaction à ces assassinats vont en fait dans le sens de la division souhaitée par Daesh. Tous les discours  sur le renforcement d'un Etat d'urgence qu'on voit bien inefficace, tombent dans le piège de Daesh qui veut nous faire perdre nos libertés et répandre la peur. Comme sont  inefficaces tous les bombardements aveugles de la coalition en Irak ou en Syrie, qui font de nombreuses victimes civiles, alors que nous devrions plutôt aider les peuples qui luttent les armes à la main contre Daesh au Proche-Orient. 

    Comme Saint Étienne du Rouvray le fait au travers de sa politique sociale avec les associations, nous continuerons à défendre nos idées progressistes,  antifascistes, solidaires et antiracistes face aux fascistes religieux et nationalistes.

    Philippe Brière et Noura Hamiche,

    élus de la liste Saint-Etienne-du-R


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  • Brest 2016 :

    l'éviction du directeur fait des vagues

    Le conflit du travail entre François Arbellot, ancien directeur de Brest événements nautiques, et le maire de Brest, François Cuillandre, prend un tour très polémique après un article du journal Marianne.

    Ouest-France 27 juillet 2016 >>>>>

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    Autres infos sur le même sujet : >>>>>


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  • Le Monde. Journal en guerre

    • 27 juil. 2016
    • Blog : Le blog de Mathias.delori - Médiapart
    Le journal Le Monde a énoncé une contre-vérité ce matin dans son éditorial: l'idée selon laquelle Daech aurait, le premier, attaqué la France. S'agit il d'une erreur ou d'un mensonge? Le propos est, en tout cas, politiquement irresponsable.
     

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  • La nouvelle loi antiterroriste met la barre à droite

    28 juillet 2016 | Par Lénaïg Bredoux et Aurélie Delmas

    La nouvelle prolongation de l’état d'urgence jeudi 21 juillet a donné lieu au vote d’une nouvelle loi antiterroriste passée quasi inaperçue. Une batterie de mesures demandées par la droite et refusées jusque-là par le gouvernement qui ont finalement été acceptées afin de maintenir une forme d’unité nationale.

    A Lire ici >>>>>


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  • Rouge ViF !

    Si certains tiennent des propos qui divisent,

    nous tiendrons des propos qui rassemblent.

    S'ils tiennent des propos de Haine,

    nous tiendrons des propos d'Amour.

    S'ils tiennent des propos de Guerre,

    nous tiendrons des propos de Paix !


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  • Mes très chers voisins
    des Paroisses de Deuil-La-Barre

    Lire la suite...


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